26 avril 2024

Lycée César Baggio

DES SCIENCES DE L'INGÉNIEUR

Témoignage de Guillame B. (INSA Toulouse)


« La réalité est qu’on y travaille beaucoup tout en gardant un vrai esprit d’entraide, rien à voir avec « l’esprit concours » tant collé à l’image de la prépa. »


Étant élève moyen en terminal S (SVT) la classe prépa de Baggio PTSI me semblait être la plus accessible pour intégrer l’école que me correspondait. Ayant la connaissance des métiers de l’ingénieur de par mon univers familial, j’ai choisi de vivre l’expérience de la prépa.

La classe prépa ne m’a pas appris à être ingénieur, elle m’a appris à maîtriser de nombreuses connaissances utiles pour un ingénieur (ou pas), à gérer une charge de travail relativement importante mais aussi à faire preuve d’abnégation.

J’y ai apprécié la qualité de l’enseignement et surtout l’implication de ses professeurs dans la réussite de leurs Taupins ! Quel que soit notre niveau de base, les professeurs nous font progresser. Même si, pris dans l’engrenage de la prépa, on peut se sentir oppressé par « leurs exigences maladives ».
Leur ambition est et restera de nous faire progresser et jamais de nous rabaisser. Merci à eux !

La vie dans la prépa de Baggio n’est pas si dure qu’il n’y paraît, l’ambiance est très bonne dans les promos  (sans expliciter l’ensemble des bons souvenirs qui y sont rattachés …).
La réalité est qu’on y travaille beaucoup tout en gardant un vrai esprit d’entraide, rien à voir avec « l’esprit concours » tant collé à l’image de la prépa.

Après trois ans passés à Baggio (PTSI, PT, PT*), J’ai finalement intégré l’INSA Toulouse, j’y suis spécialisé en mécanique, ce qui en soi reste assez ouvert pour mon avenir professionnel.
En parallèle de mon cursus, je suis en musique étude, ce qui me permet de participer et de créer de nombreux projets étudiants que ce soit dans le cadre de l’INSA ou pour la communauté étudiante de Toulouse.

Cet été, je pense faire mon stage de 3 mois chez Astrium.
L’année prochaine, je m’installe à Montréal pour 6 mois minimum pour un semestre d’étude à Polytechique Montréal.
Pour la suite pourquoi pas revenir en France par une transatlantique sur un Wally 100 indigo, revoir la famille et les amis, puis repartir plus loin …

Le but de la prépa est d’aller chercher au plus profond de de soi pour aller plus loin.

Guillaume B., PTSI, PT, PT*, INSA Toulouse